Attendu que, quotidiennement, des Français blancs sont victimes de racisme antiblanc avec insultes – “Sale blanc”, “Babtou fragile”, “Francaoui de merde”, “Sale gwer” (sale Européen), “Pute blanche”, “Halouf” (porc), “Kouffar” (mécréant), “Sale chrétien, sale Juif”… – coups, brimades, vols, racket et agressions en groupe ;

Attendu que ce racisme antiblanc fait l’objet d’un déni médiatique, politique (à de rares exceptions près), institutionnel (une seule étude de l’Insee et l’Ined, de 2009, a révélé que 17 % des blancs ont été “la cible d’insultes, de propos ou d’attitudes racistes” – depuis la question a été supprimée de l’enquête) et judiciaire (les juges refusent, dans la majorité des cas, de reconnaître le racisme antiblanc et d’y voir une circonstance aggravante) ;

Attendu que ce déni revient à laisser le racisme antiblanc se développer et à encourager dans les faits ses auteurs à s’y livrer en toute impunité ;

Je considère qu’il est urgent et vital de faire éclater la vérité sur le racisme antiblanc en France, pour créer un sursaut salutaire et pour pouvoir exiger des responsables politiques qu’ils mettent en œuvre toutes les mesures nécessaires pour le stopper.